Jean Bite y es-tu? Je mets ma culotte... Jean Bite y es-tu? Je met mon pantalon...

Salut a toi ribaude joufflue. J'ai en effet pris possession du fourbe oren pour en faire un de mes écuyers porteurs de bagages.

J'avoue ne pas être entièrement satisfait, l'immonde resiste et rechigne à la tache, je lui propose pourtant de formidables aventures en compagnie du plus noble des barons.

Je pourrais bien entendu te revendre le bougre en bonne état, il me faudrait moult gourdasses d'eau ou d'alcool. A moins que tu ais quelque drogue miraculeuse a me proposer, sorcière poilue que tu es.


Sur ce je vous salut, si les autres habitants d'Hivernage sont plus prompt qu'Oren a s'ouvrir au formidable phallus baronique je passerai peut être chez vous apporter une petite touche barronique à vos intimités réctales.

Et bien mon petit baron, t'as bite est si formidable que tu veux nous le faire croire ? Alors, dans ce cas, elle atteindra facilement ton anus ! On va donc te la mettre dans le cul ok ?

Hihihihi!

Hobbes riait joyeusement.

Joufflue? Vraiment? Il est vrai que je n'ai pas de miroir ici mais je doute être joufflue ma couille. Quand à a pilosité.... Tssssss. Tu sais ma couille avant tout ce bordel, j'ai eu une nounou portugaise. Je suis loin mais vraiment loin d'être poilue. Même mon pubis n'a qu'un faible duvet. Qu'y puis-je à cela à part me réjouir de faire des économie en cire rasoir et autre cochonnerie? Lisse comme une fesse de bébé que je suis moi. A part mes cheveux bien sûr.

Oren est difficile à manier. Faut du doigté avec lui. Du savoir-faire. De la dextérité. A l'occasion de t'apprendrai ma couille.
Bon, de l'eau j'ai, quelque drogues amusantes aussi. L'alcool j'ai pas encore mis la main sur un 'voyageur égaré'** L'ironie était à peine camouflée.**Mais on peut s'arranger non? T'en dis quoi ma couille?

Arrête Hobbes, tu vas m'exciter avec tes histoires de poils et de couilles. Ben quoi ?! Je suis bien le pervers de service non ?

Tu sais Bibite, tu serais venu en ayant dépecé un mec au passage et tu m'aurais dit, "j'ai 3 kilos de bouffe, je te les échange contre 3 litrons de flotte", j'aurai dit oui, car ton nom me disait quelque chose de pas trop trop négatif. Bon...ça s'est pas fait, ok, tant pis ! Ensuite, t'arrive là avec tes menaces à la con, mais t'as cru que tu étais en position de force là sérieux ? Tu t'es mis ta bite dans l'oeil à force de courir les couilles à l'air au vent ! C'est toi le fugitif, le mec que tout le monde veut buter, et tu viens nous reporter tes couilles molles sur nous ?

Bon, vu qu'on en est là où on en est hein, ben tu vas attendre la prochaine lune pour avoir ta flotte, d'une part parce Sonatine ne peut pas marcher, et d'autre part parce que je suis crevé. Ah et puis, je ne sais pas si j'ai assez d'eau pour effectuer le deal. Parce que je sais qu'Oren vaut cher non ?

Ah et sinon, il parait que tu as fuit le Squat sur une rumeurs, un bruit ? Alors, si je fais "bouh" tu te casses ou pas ?

Petit soupir amusé, pincement de nez d'agacement.

Tu sais Biscornu, je crois que tu m'as confondu avec le type qui n'a pas la vie de ton pote entre ses mains.


Puis il s'approche d'Oren avec un sourire compréhensif.

Tu veux dire un mot à tes amis?

Avant même qu'il ai pu décoché un son, le baron tenant la radio d'une main, attrape le gamin par les cheveux de l'autre, et tel un champion de bowling attaquant un strike, Jean Bite éclate le visage de sa victime dans la radio, le grenat sombre du sang se méle au gris charbonneux de la feraille : le visage d'Oren est une performance artistique.
Sourire de dément aux lèvres, Jean Bite ramene une dernière fois la radio à son usage originel.

Vous savez ce que j'adore chez vous? L'emploi du terme "position de force".


A ces mots le baron met Oren à quatre pattes, la tête au dessus de la radio. Puis a l'aide d'un vieux bout de ver tranchant il taille une ouverture dans le pantalon de l'esclave.

CA mes amis c'est une position de force.


Puis le martellage commence, avec un petit bonus, en même temps qu'il laboure son client, Jean Bite lui lacère le dos avec le tranchant du verre. L'excitation montant, la violence doit suivre, il l'attrape par les cheveux et commence à lui exploser ce qui lui reste de visage contre la radio. Les coups suivent à chaque coup de reins comme un metronome et le baron, submergé de plaisir fait éclater un rire de dément. La course se termine dans une cadence folle et quand le baron jouit la radio n'emmet déja plus qu'un sourd gresillement, il extirbe en bavant sa nouille froide, s'allonge et comme une salutation finale, plante son bout de verre dans le cul souillé de l'esclave.

Tien, hin hin, si tu veux t'évader tu pourras le chier et trancher tes liens avec.


Edit: NB: maintenant le groupe communique par la radio d'Oren

*Le sang coulait dans mes yeux : entre le noir complet et les lucioles dues au choc, je ne comprenais plus ce qui m'arrivait.
Il m'avait attrapé violemment, c'était la fin.
Egorgé, battu à mort, comment allait-il en finir avec moi? Je devais me concentrer pour ne pas hurler. Non pas de peur mais de dépit : après toute ces lunes, j'avais enfin rejoins celle que j'aimais et j'allais finir en cadavre souillé aux portes de l'Abri...*

- SONATINE!!!! SONATIIIIIIIIIIINE!!!

*Je ne suis plus qu'une marionnette entre ses mains. Il me donne la forme qu'il souhaite, fais de mon corps son oeuvre obscène et sanglante.
La douleur ne m'atteint pas... la douleur ne m'atteindra pas... la douleur ne doit pas m'atteindre. Je suis instrument, je suis résonance, caisson vide, anéanti, écho des râles du monstre qui s'immisce dans mon âme.
Mon armure se brise, le cocon de mes illusions se fane...

Mourir, m'ouvrir.
De toute mes forces, j'attrape l'intérieur de mes joues avec mes molaires, les lacère, les avale, les pétris de désespoir jusqu'à ce que ma tête toute entière soit remplie du goût du sang!

La douleur ne m'atteint pas... la douleur ne m'atteindra pas... la douleur ne doit pas m'atteindre : JE SUIS LA DOULEUR!*

- parle-moi Jean... PARLE-MOI!!!! PARLE MOI!!!!

*Lorsque, dans un élan de sauvagerie, le Baron atteint le paroxysme de son plaisir sadique, la pauvre victime du grandiloquent personnage frappe de toute ses forces son propre visage contre le sol avant... de perdre conscience!*

Quelle musique discordante... commenta Hobbes d'un ton ennuyé pendant que le baron se défouler.

C'est bon? T'as fini ma couille? Recausons donc civilement sans que le petit personnel inculte ne s'en mêle veux-tu. Au moins il semble que sur ce point là nous soyons d'accord. Les petites gens ce n'est plus ce que c'était. Hé ma couille? T'as connu 'ça' avant le foutoir actuel? J'étais encore gamine mais franchement j'en ai un bien meilleur souvenir. Efficace, servile, muet ou presque... Rhaaa ils faisaient bien leur boulot non? Maintenant il leur prend des velléités d'indépendance. Comme s'ils en avaient les moyens... Sans personne pour les diriger ces gens là c'est comme... comme des pourceau lâchés dans un pré trop grand. Tu penses pas ma couille? Ah et dis moi ma couille tu peux me rendre un service? Tu peux foutre un point dans la gueule de la grande gueule qui se mêle de la conversion des grands? Il est trop loin pour moi et j'évite le soleil pour ma part.


Edit : déplacement de mon post.

Enfin des paroles sensées ribaude, il était temps.

J'avoue tout de même que le petit oren me plait de plus en plus, il serait douloureux de m'en séparer.

Alors comme je te le disait, une bonne drogue et quelque gourdasses d'eau feront l'affaire, une petite pipe ne serait pas désagréable non plus a vrai dire, ça fait lomptemps que je n'ai pas connu de femme consentante guhuhuhu.


Oh, et pour ce qui est du camarade Distorsion tu verses une prime de non-estourbitage de crane, parce que c'est pas l'envie qui m'en manque figure toi!

Ah non! Je te prie ma couille de ne pas me confondre avec le pervers de service. J'ai depuis le début, depuis que tu as pris mon personnel tenter de régler ça civilement, entre gens honnêtes et éduqués. Enfin, le petit personnel va cesser de se mêler des conversations à présent. Le ton était emprunt d'autorité froide.

Bon je suis allée dans le marais pour profiter de la fraicheur. Imagine, ma couille, le personnel étant ce qu'il est, il a fallu que je puise moi-même de l'eau! Et avec tous ces insectes c'est une horreur! Bon où veux tu me rejoindre. Je t'avouerai que j'apprécierai l'abri d'une tente. Tous ces insectes... Pouah!

La gueuse, arrête de tourner autour du cul et prend le taureau par les couilles! Je te parle d'un échange en bonne et due forme et tu me causes de tes problèmes de bonne femme.

C'est une affaire sérieuse alors va chercher ton mari qu'on puisse négocier réellement, si tu veux discuter couture contacte donc mon bon Evgeni, c'est un grand artiste!

Sur ce

Je te demande où tu veux faire cet échange ma couille... Je précise que je préférerai dans un campement parce que la nature m'indispose. Je te demande donc, ce qui te semble convenable. Mais si tu préfères je peux imposer un lieu qui sera à mon unique convenance.


Edit pour pas double-poster
Après un temps de silence, la jeune femme reprend la radio.

Oh mais que vois-je? Bon ma couille je vois un campement devant moi. Je l'atteindrai dans 2 lunes je dirai. Il est au milieu des marais. Comme ça tu pourras pas dire que je tergiverse ma couille.

Avant de trouver un lieu de rendez vous il faudrait déja savoir ce que tu proposes, en plus je t'ai dit que je prenait la route d'hivernage, tu as deux bites dans les oreilles ou quoi?

Moi j'aimerai qu'on cause commerce, la drogue pour commencer: c'est quoi ce que t'as a me proposer?

En effet, j'ai bien l'intention de faire repas de ton cul, la gueuse!

Sinon j'amenerai les restes de mes enemis tombés au combat! Nous ferons un grand banquet comme du temps de mes glorieuses ripailles au Squat!

Ah ce sera fort bon, une grande fête de village, et si je suis en colère Oren fera office de dessert, il faudra donc satisfaire ma pine.

Je prend la route d'Hivernage, à bientot dans ton cul, petite Hobbes.